Hormis le facteur temps,
Gorodka est sorti de terre comme un gros champignon.
Un peu, surtout comme un jeu de quilles qui tombent
et se replacent...
Gorodka survit... vit... fonctionne...
Gorodka n’est que dualités
...normes, pas normes...
création ou gestion... refus et acceptations...
Gorodka,
un lieu,
des anarchitectures, des oeuvres, des activités, des actions...
Un lieu où les autres viennent rêver...
... Et où j’y suis artiste...
et je regarde bouger les hommes.
Alors tout au fond de moi,
j’ai envie de ne parler que de moi,
et je peins...
... Où j’y suis homme...
et tout au fond de moi,
je ne peux résister aux capacités que j’ai
de créer des services pour les autres.
Mais je n’en fais pas assez,
et quand je peins,
j’ai encore plus honte de ne pas en faire plus...
Je crois que c’est de cette dualité
qu’a pu naître Gorodka.